Le programme de Démontons la vidéosurveillance ! est désormais complet : les informations qui manquaient sont précisées ci-dessous. Vous trouverez aussi les notes de la visite guidée de mardi.
Vendredi 21 mai à 20 h
De quoi la vidéo-surveillance est-elle le nom ?
La causerie avec Jean-Pierre Garnier se déroulera, comme prévu, à la Maison des associations, place des Orphelins. De notre invité : deux livres dans notre bibliographie ; une brochure dans notre kiosque ambulant ; un texte joint au premier programme ; sa chronique ; etc.
Samedi 22 mai à 15 h
À la recherche du pot aux roses
Le jeu de piste partira bien de la place du Château : si vous venez en équipe de 3 à 5, c’est super ; si vous venez seul, vous trouverez des comparses ; vous pouvez nous indiquer (anonymement) votre venue pour faciliter l’organisation.
Samedi 22 mai à 18 h
Apéro-craie sous surveillance
Rendez-vous place Saint-Etienne : il fera si beau que nous pourrons craier ! Message personnel pour la police : non, ce n’est pas cet « apéro géant » qui vous fait tant flipper.
Dimanche 23 mai dès 16 h
Ils ont filmé les caméras
Nous seront accueillis par la Maison Mimir au 18, rue Prechter, derrière les bains municipaux. Les films : 16 h, 1984 de Michael Radford, d’après le roman de George Orwell ; 18 h 30, Braves gens, n’ayez plus peur du collectif Panic ; 21 h, La Zona de Rodrigo Pla ; le tout saupoudré de plein de courts métrages.
Lundi 24 mai à 18 h
Dansons sous les caméras : bal sauvage folk masqué
Venez masqués place Broglie : nous danserons tous ensemble et apprendrons des danses populaires d’un peu partout. Hopla, ça va guincher ! Et chez nos surveillants qui s’ennuient derrière leurs écrans ? Avec les danseurs des Ceméa Alsace.
Au Syndicat potentiel (que nous remercions de nous accueillir depuis de si longues années) : après Otan d’images, voici l’exposition Domaine publi(c)... Sinon, les brochures sont dans le kiosque ambulant. En vrac : IBM et la société de contrainte ; Des policiers veulent faire interdire la tournée de soutien aux inculpés de Villiers-le-Bel ; Numéro lambda met du sable dans l’engrenage.